MACH-PERROT Valentine

HES-SO - Haute école spécialisée de Suisse occidentale - Rectorat

Pratiques interprofessionnelles et communication

LINDER Audrey - Co-requérante, HELOU Nancy - Requérante principale , MACH-PERROT Valentine - Collaboratrice, FOLEY Rose-Anna - Collaboratrice, SCHAUB Corinne - Collaboratrice

CHUV - Centre Hôspitalier Universitaire Vaudois, Hôpital du Valais, Sion, HUG - Hôpital Universitaire de Genève, Clinique Cécil, Hôpital intercantonal de la Broye, Dialyse Riviera, Hôpital Yverdon-les-Bains

Les personnes atteintes d'insuffisance rénale terminale, dont les reins fonctionnent à moins de 10%, doivent généralement suivre des séances de dialyse pour assurer leur survie. En Suisse, près de 5'000 personnes en dépendent. L'hémodialyse traditionnelle, en milieu hospitalier, est exigeante en termes d'horaires pour ces personnes et couteuse pour le système de santé. Récemment, afin de baisser les coûts et de promouvoir l'autonomie des patient.e.s, des modalités alternatives de dialyse ont été mises en avant en Suisse, notamment l'hémodialyse self-care en milieu hospitalier, l'hémodialyse à domicile et la dialyse péritonéale. Toutefois, le rôle infirmier dans le suivi de ces modalités est peu développé, et l'opinion des patient.e.s n'a pas été souvent entendue. Dès lors, et malgré leurs avantages, ces modalités restent très minoritaires en Suisse. Cette étude exploratoire vise donc à comprendre la manière dont les patient.e.s décident de la modalité de dialyse. Les résultats contribueront au développement d'interventions infirmières adaptées aux besoins des patient.e.s quant à la prise de décision et l'autogestion de la dialyse.

Service de la santé publique, Etat de Vaud

Vieillissement de la population, soins de transition et fin de vie

POTT Murielle - Cheffe de projet, MAZREKU Sadije - Collaboratrice, MACH-PERROT Valentine - Collaboratrice, GSCHWEND Adélia - Collaboratrice

Les parcours de fin de vie des personnes âgées en situation de vulnérabilité, institutionnalisées ou en voie de l'être, sont rythmés par des transitions de différentes natures. Le but de ce projet est d'élaborer de manière participative et intergénérationnelle des principes d'accompagnement de ces transitions et de contribuer à instaurer une culture de la re-capacitation en EMS.

HES-SO - Haute école spécialisée de Suisse occidentale - Rectorat

Pratiques professionnelles et interprofessionnelles en santé

DÉMOLIS Rachel - Requérante principale , ALEXANDRE BONACINA Kétia - Experte scientifique, ULUKÜTÜK Songül - Experte scientifique, MACH-PERROT Valentine - Collaboratrice, TAVARES SOBRAL Gina - Collaboratrice

La vaccination contre le coronavirus est une stratégie fondamentale de lutte contre la pandémie, tant en Suisse que sur le plan mondial. Les infirmier.e.s sont parmi les premiers agents au contact de la population qui implémentent cette stratégie, par le geste vaccinal, mais aussi par l'éducation thérapeutique dispensée lors des consultations auprès des patients vaccino-hésitants. Toutefois, selon une étude récente (Zurcher et al., 2021), seuls 27.8% du personnel infirmier en Suisse déclaraient avoir l'intention de se faire vacciner. Les logiques induisant cette hésitation vaccinale n'ont pas été investigués. Cette étude permet de remédier à ce manque : il s'agit d'une étude qualitative qui met à jour de façon fine les processus conduisant à cette hésitation ou ce refus vaccinal et les facteurs ayant un impact sur celles-ci. Elle permettra de favoriser le dialogue entre les instances de santé publique en Suisse romande et les infirmier.e.s vaccino-hésitants et sera déterminante pour renforcer les modules de formation à HESAV et au sein du réseau HES-SO.