Association entre facteurs psychologiques et mouvement du rachis dans la lombalgie : revue systématique et méta-analyse
Guillaume Christe (HESAV), Emmanuelle Opsommer (HESAV), Shannon Edd (Swiss BioMotion Lab, CHUV), Geert Crombez (Ghent University), Julien Favre (Swiss BioMotion Lab, CHUV), Brigitte Jolles-Haeberli (Swiss BioMotion Lab, CHUV)
La lombalgie est l'une des causes les plus courantes de limitations dans les activités quotidiennes, les loisirs et le travail.
Des altérations du mouvement du dos, telles qu'une amplitude de mouvement limitée et une activité élevée des muscles du tronc, ont été régulièrement signalées chez les personnes atteintes de lombalgie. Cela suggère que les personnes atteintes de lombalgie bougent leur dos de manière plus rigide. Certains modèles utilisés en réadaptation suggèrent que des facteurs psychologiques influencent la manière de bouger chez les patient.e.s atteint.e.s de lombalgie.
Toutefois, les études réalisées sur ce sujet ont montré des résultats contradictoires, ce qui rend le lien entre les facteurs psychologiques et biomécaniques peu clair. Afin d'améliorer les stratégies de réadaptation et d'offrir des options efficaces pour modifier le mouvement du dos chez les personnes souffrant de lombalgie, il est essentiel de mieux comprendre comment ces facteurs s'influencent mutuellement.
Par conséquent, l'objectif de cette revue systématique est de déterminer si les facteurs psychologiques prédisent les altérations du mouvement du dos chez les personnes atteintes de lombalgie.
Guillaume Christe, requérant principal, HESAV
Emmanuelle Opsommer, co-requérante, HESAV
Shannon Edd, partenaire de terrain, Swiss BioMotion Lab, CHUV
Prof. Geert Crombez, partenaire de terrain, Ghent University
Julien Favre, partenaire de terrain, Swiss BioMotion Lab, CHUV
Prof. Brigitte Jolles-Haeberli, partenaire de terrain, Swiss BioMotion Lab, CHUV
Commission scientifique du domaine Santé
12 mois